Joutes poétiques

Dans la société arabe, la poésie occupe une place de choix.
Au Yémen, l’on pense que les ancêtres himyarites, les anciens, ne parlaient qu’en poésie. Le verbe était enchanté dès l’origine.
En 2009, Francine Vidal obtient une Villa Médicis Hors les Murs pour faire une recherche sur les joutes poétiques féminines en langue arabe, et va voyager pour cela plusieurs mois en Tunisie.
Cette recherche va nourrir son travail et pour une commande de Lieux Publics à Marseille en 2010, les Beaux Parleurs, coproduit par l’Abattoir de Chalon-sur-Saône, et pour Café Ulysse quelques années plus tard.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


La joute oratoire, poétique et musicale est une tradition anté-islamique, comme par exemple le Zajla, De Zajila qui veut dire chanter, fredonner, élever la voix, parler haut, jouer, s’amuser, et de Zajalon : qui désigne la poésie dialectale populaire mais aussi le jeu, la joie bruyante, le bruit, le vacarme.
C’est aussi un moyen de contestation traditionnel.
Et c’est précisément ce chemin qu’on choisit les femmes arabes aujourd’hui pour s’exprimer.

Derrière leurs voiles et nos idées reçues, elles développent un mouvement d’émancipation, dans lequel la poésie est une voie privilégiée, car justement déjà connu et accepté par la société. Ce que ces femmes expriment avant tout par leurs vers, c’est un ancrage dans leur époque. Elles ne se conforment pas à des modèles traditionnels ou occidentaux du rôle de la femme mais inventent leur devenir, ce qui représente une attitude très moderne. Elles veulent être en même temps des mères, des amantes, des poétesses mais elle ne sont pas pour autant engagées collectivement dans une lutte pour la défense des femmes comme en Occident.

Leurs poèmes mêlent des influences culturelles très diverses, parlent de la société, de politique, de sexualité avec beaucoup d’audace et de sens critique.

Elles manient aussi à merveille les armes du rire, de l’humour, recourent au monologue dramatique permettant d’habiter d’autres voix, et par ces biais là, se réapproprient le territoire de la domesticité, et les discours masculins dans les domaines de la science et du politique et affirment ainsi leur relation privilégiée avec l’intime.

Ainsi ce projet de recherche autour des joutes poétiques féminines dans le monde arabe, permet de mettre en lumière une facette méconnue d’une société en pleine mutation, et d’explorer la complexité d’un mode d’expression, qui n’est pas sans rappeler sous certains aspects en France, les joutes poétiques des troubadours et plus récemment le slam.


Conception et mise en scène : Francine Vidal
Avec : Vincent Audat, Farid Chebout, Claire Harisson Bullet, Laurent Provots

Production :
Dans le cadre du projet TCHATCHE 2013, sur l’initiative de Lieux publics, Centre National de Création, Marseille
Artiste associée : Francine Vidal
Production déléguée : Lieux publics, Centre national de création
Coproduction : L’Abattoir, Centre national des arts de la rue, Chalon-sur-Saône
L’artiste est lauréate 2009 du programme Villa Médicis Hors les Murs de CULTURES FRANCE


Dossier artistique

BOOOOOOO

Contes ? Raconte !

Francine Vidal raconte depuis une quinzaine d’années.
A son répertoire : contes merveilleux, contes d’animaux, contes orientaux
et quelques autres petits trésors…

C’est à partir de cela qu’elle compose des séances de contes, selon le public convié,
le lieu, et le jour !

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été fascinée par l’usage des mots.
Du babil de l’enfant au double langage, du cri au chant, mais aussi de la langue au geste, la parole joue un rôle primordial dans la transmission, c’est aussi un moyen essentiel d’exploration depuis cette question originelle “qu’est-ce que c’est”.
Et, enfin, la parole est source de création grâce à la vertu extravagante des mots
qui permettent de façonner des mondes.
Bref, l’art de la parole me paraît aussi nécessaire que celui du paysan ou du boulanger.
Francine Vidal


 

 

 

 

 

 

 



La presse en parle

« Le public nombreux s’est laissé séduire, pour un spectacle original et interactif : il a réagit spontanément aux sollicitudes de la conteuse en lui soufflant les mots à partir desquels elle a fait revivre des récits de son répertoire à la fois étendu et varié. » Libération

« Francine Vidal excelle, Un vrai régal ! » Journal de Haute-Marne

 » Francine Vidal a ainsi capté, captivé et capturé par le charme de sa gestuelle distillant des univers oniriques où chaque mot est une histoire…Ce fut un moment de simple moment de bonheur offert aux âmes d’enfants de 8 à 88 ans. » Centre Presse

« Francine Vidal a réussi son pari. Un spectacle frais et pur.  » Paris-Môme/- Libération

« La féérie des mots était agrémentée par la grâce de cette délicieuse et prometteuse artiste. » Echo Républicain

« Griot contemporain, Francine Vidal raconte comme elle respire … Avec quelques mots simples, des détails qui font voir et des gestes évocateurs, elle est capable de captiver même avec une histoire d’amour entre une saucisse et un rat !  » Télérama

Dossier artistique

 

 

 

 

 

 


Francine Vidal est également auteur chez Didier Jeunesse :

La souris qui cherchait un mari

Auteur : Francine Vidal
Illustrations : Martine Bourre

 

La grenouille à grande bouche

Auteur : Francine Vidal
Illustrations : Elodie Nouhen

 

KaraBistouille

Auteur : Francine Vidal
Composition : Benoît Fleurey
Illustrations : Claire Robert

 

La Tour de Babel

Auteur : Francine Vidal
Illustrations : Elodie Nouhen

 

 


Vous avez pu entendre Francine Vidal dans différents lieux :

Paris Quartier d’été à Paris, Festivals Parole d’Hiver à Dinan, Mots d’Hiver dans la Sarthe, Graines de Spectacles à Clermont- Ferrand, Festival du contes et des conteurs de Limoux, Festival du Conte des Alpes Maritimes, Festival la Vallée en Dordogne, Festival des contes et des légendes à La Rianderie à Marcq-en-Baroeul, au Sax à Achères, à la Halle Saint- Pierre à Paris, au Théâtre International de Langue Française à La Villette, Festival du conte à Orly, en Lozère, en Champagne- Ardennes, à Saint-Chamond, à Chiny en Belgique, à Equeurdreville, Festival des Contes Givrés en Bourgogne, Festival Ribambelles à Reims, Festival à l’espace Simone Signoret à Vitry-le-François, au Granit de Belfort, Festival Conteurs en Campagne dans le Nord-Pas-de-Calais,à Audruicq, à La Ferme du Buisson à Noisiel, au Festival du Conte et de la Nouvelle à Saint-Quentin, Festival du conte de Lyon, à La Maison de l’Enfance de Rombas, à Lausanne en Suisse, au Train Théâtre à Porte-les-Valence, au théâtre de Perpignan et dans la région Languedoc-Roussillon, au Théâtre du Petit Faucheux à Tours, au Théâtre des Amandiers à Nanterre, à L’ARC Scène nationale à Le Creusot, au Yémen, en Mauritanie, en Tanzanie, au MAJH à Paris, à Lille 2004 et dans de nombreuses villes de France et de Belgique, Graines de Spectacles à Clermont-Ferrand, Festival du contes et des conteurs de Limoux, au théâtre de Douzens, L’Espace Jean Legendre, à L’Espace Germinal à Fosses, au Théâtre de La Celle Saint Cloud, à Dijon Festival A pas contés, au Théâtre Jean Arp à Clamart , festival Courants d’Arts à Gentilly. au Centre Culturel de Chevilly La Rue, à l’Espace 1789, Saint-Ouen, au Théâtre des Sources à Fontenay-aux-Roses, au festival Chalon dans la Rue à Chalon-sur-Saône, aux Tombées de la Nuit à Rennes, au festival Excentrique (région Centre), à Aubagne, à la Médiathèque Les Silos, à Chaumont, au Festival du Conte de Nottingham, Angleterre, au Festival P’tit Piment, Saint-Point, à la Fête de la Poésie de Fillinges, avec Animakt, Saulx-les-Chartreux, au Musée Rolin d’Autun, à la Nuit du Conte de la Maison du Conte de Chevilly-Larue …

BOOOOOOO

D’un seul souffle

Ce battement de coeur au fond de nos poitrines, d’où vient-il ?
Ce souffle qui nous traverse, nous anime,
nous transporte et qui parfois nous manque, qu’est-il ?
Pour tenter de saisir ces mouvements d’air à la fois si ténus et si essentiels,
pour donner corps à ce souffle à la fois fragile et puissant,
nous avons choisi de travailler à partir d’histoires qui se sont transmises de bouches à oreilles, et qui ont pour sujet ces fameux souffles.

Quatre contes menés tambour battant, par une «narr’actrice»
qui sait aussi chanter, incarnant tour à tour poule, oie, lutin ou tailleur bossu.
Au piano, donnant la réplique à cette acrobate de la tradition orale,
un inventeur de sons qui sait aussi raconter, bruiter, et donner de la voix.
Une complicité ludique pour escalader en mots et en musique
le jeu de construction coloré emprunté aux greniers de l’enfance et de l’adolescence.

«Dire ces histoires de tous les temps, c’est se confronter à celui qui est le nôtre»
Jean-Jacques Fdida, auteur et metteur en scène.

Elisabeth Dooms, directrice du festival des musiques sacrées de Perpignan,

nous a proposé en 2013, à Jean-Marie Machado et moi-même, de créer un spectacle jeune public pour son festival, qui cette année-là, avait pour thématique le souffle.
Le souffle ? Le dénominateur commun de tous les êtres vivants. 
Ce battement de coeur au fond de nos poitrines d’où vient-il ?
Ce souffle qui nous traverse, nous anime,
nous transporte et qui parfois nous manque, qu’est-il ?
Pour tenter de saisir ces mouvements d’air à la fois si ténus et si essentiels,
pour donner corps à ce souffle à la fois fragile et puissant,
le spectacle s’ouvre sur un personnage endormi, le souffle léger.
Se réveillant de son sommeil digne de celui de la Belle au Bois dormant, 
elle ouvre les yeux et demande : « Contes ? »
« Raconte ! » lui répond le musicien.
Ce rapport entre rêve et réveil joue de la frontière entre sommeil et activité, rêve et réalité.
Et c’est précisément dans cet entre-deux, sur cette frontière que vivent les contes.
Qui les a inventé ? Personne ne le sait.
Voyageant de bouches à oreilles, polies par des voix de conteurs inconnus, les contes sont tels les cailloux du Petit Poucet, ils jalonnent le chemin de l’humanité, sans qu’on ne souvienne d’où ils viennent.

Sur scène, nous avons voulu joindre au piano, instrument qui a une forte empreinte au sol, une scénographie qui elle donne corps à l’air, qui permette d’être en hauteur
et plus haut que le piano, et de pouvoir se tenir au bord du vide.
C’est ainsi que peu à peu s’est imposée l’idée d’escalier.
Inspiré aussi par l’univers d’Escher, de ses imbrications d’escalier, sans issue évidente, Nicolas Diaz a créé 24 cubes de couleurs de taille différentes, qui permettent d’inventer mille chemins et mille façons d’en jouer (dessus, derrière, caché, au pied de ses cubes, les déplacer, etc.)

Il s’agit donc plus de proposer un décor qui suggère des chemins, des rapports, qui encourage l’imaginaire, plutôt qu’un décor qui soit par lui-même trop signifiant.
L’aventure D’un Seul Souffle a alors commencé.
Francine Vidal

Concert-conte en duo avec Jean-Marie Machado.
Tout public à partir de 7 ans.


 

 

 

 


Textes et mise en scène : Jean-Jacques Fdida
Récit et chant :
Francine Vidal
Composition, piano et voix :
Jean-Marie Machado
Scénographie et décor :
Nicolas Diaz & Nicolas Forge
Création lumière :
Sébastien Canet
Régie : Agnieska Juszcak
Production et diffusion :
Marion Villar & Alexandra Leroux
Un grand merci à Jean-Michel Dury pour la captation vidéo et à Gérald Molé pour le mixage sonore.

Coproduction :
Festival de Musique sacrée de Perpignan – Théâtre de Grasse / Scène Nationale
Soutien au projet :
Ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Bourgogne au titre de l’aide à la résidence – Conseil Régional de Bourgogne – SPEDIDAM
Accueil en résidence :
Le Sax, Achères –Théâtre des Sources, Fontenay-aux-Roses

  
« LA SPEDIDAM est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées ».

Nous avons déjà eu le plaisir de jouer dans différents lieux en France,  notamment :
Festival de musique sacrée, Service Culturel, Perpignan – Festival de musique sacrée du monde, Scène Nationale de Grasse – Le Sax, Achères – Théâtre des Sources, Fontenay-aux-Roses – Espace des Arts, Chalon-sur-Saône, en lien avec le Conservatoire du Grand Chalon – Les Concerts de l’Auditorium, Villefranche-sur-Saône – Act’art, Champagne-sur-Seine …

 

 

 

 

 

 

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Soif ! Le tarot de l’eau

Soif ! le tarot de l’eau est un rendez-vous qui se tient au bord de l’eau avec :
– un accueil ludique et personnifié du public
– un chemin de cannes à pêches et des dessins qui mène au point d’eau
– une dégustation d’eau
– et des histoires et des savoirs
– sans oublier  le final avec un circuit d’eau !


Captation lors de la première représentation en juin 2022 au Moulin de Pras, à Sigy-le-Chatel. Merci aux habitants et à Nadine et Jérôme pour leur accueil.
Film réalisé par Simon Bonne

Soif …
Aujourd’hui une sensation que l’on a presque oublié dans nos sociétés gavées de robinets,
où la soif est devenue synonyme de boire de l’alcool à outrance,
puisque le manque d’eau n’est plus un souci.
Avoir soif.
De liberté, d’amour.
Le désir brûlant, non pas l’envie, le souhait ou l’espoir.
La soif, la nécessité.
L’eau est non seulement un enjeu essentiel
mais constitue aussi cette chose commune qui relie tout être vivant,
qu’il soit végétal, animal, humain,
C’est un don qui met en relation. C’est ce lien et cette interdépendance que nous souhaitons questionner, explorer avec le public.
Une proposition aux multiples facettes pour faire la louange de l’eau, et de sa qualité première : celle de la relation.
« Quelles sont nos soifs ? »
Telle est la question qui sous-tend cette création, et avec elle, la question de nos désirs.
Car le changement, notre capacité à faire évoluer notre rapport à l’eau ne se fera pas à cause d’une peur de la catastrophe liée à sa rareté ou sa pollution grandissante, ni à cause d’une culpabilisation à outrance, liée à son gaspillage mais bien grâce à un élan de désir, désir de se relier à soi, aux autres, au monde.

…. Le tarot de l’eau
Le tarot est un jeu de cartes connu depuis le XIVe siècle.
Il est composé notamment de 22 arcanes (appelées aussi atouts) qui représentent
des figures symboliques de savoirs (la Papesse, l’Ermite),
des figures d’expériences (l’Empereur, le Diable),
des forces naturelles (la Lune, le Soleil, les Etoiles)
et des figures de l’exploration (le Mat, L’Amoureux)
Nous avons transposé ces figures symbolique au monde des eaux
et nous nous sommes rendus compte que l’ensemble des 22 arcanes rentre en parfaite résonance avec tous les aspects de l’eau
dans son cycle naturel comme lors son utilisation par l’homme.
Le navigateur, le sourcier, l’amphibien, le gardien de phare, la porteuse d’eau, les marées, le déluge, la mer-mère, etc.
Ces arcanes sont comme les pierres d’un gué qui nous permettent de parcourir les différentes facettes du monde des eaux et sont devenus de véritables partenaires de jeu de ce spectacle.

L’eau d’un territoire
Pour évoquer l’eau, ce commun partagé du vivant, nous avons imaginé d’abord ancrer ce rapport dans le territoire.
Car nous ne vivons jamais l’eau en général, mais toujours liée à un territoire.
C’est pour cela aussi que nous souhaitons que cette proposition ait lieu à chaque fois à proximité d’un point d’eau (rivière, lac, fontaine, mer, fleuve, source, etc.)
En préalable de chaque représentation, un collectage aura lieu auprès des connaisseurs, les associations, les amoureux du point d’eau concerné, pour pouvoir, lors du spectacle, partager les savoirs et les saveurs du point d’eau choisi.

Conception : Francine Vidal et Nicolas Diaz. 
Musique : Anne-Laure Quaglietti
Jeu : Francine Vidal
Scénographie et dessins des cartes : Nicolas Diaz
Graphisme des cartes : Virginie Maillard
Production :  Marion Villar et Hélène Jarry
Remerciements pour leur aide précieuse à Philippe Royer, Reinier Sagel, Emilien et Balthazar Diaz.

Ce spectacle a été soutenu par 
L’Abbaye de Noirlac,
Centre culturel de rencontres, Bruères-Allichamps et
la Région Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre du conventionnement de la Compagnie Caracol

Cette proposition s’est construite au fil de l’eau, lors de rendez-vous portés par
Animakt, Saulx-Les-Chartreux
Les Ricochets sur les Pavés,Arcueil
La Cité du Mot, Centre culturel de rencontre, La Charité-sur-Loire
Chahuts, Bordeaux

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La Troisième Oreille

Dans un parc, un jardin ou tout autre lieu aux mille recoins, huit objets vous attendent.
Comme dans un jeu de piste, à vous de les dénicher, d’en déchiffrer le sens, et d’en découvrir le secret. Alors vous pourrez contempler un paysage inédit, et vous laisser emporter par le récit.
Le parcours permet de renouer avec les jeux de l’enfance format géant : rébus, puzzle, jeu de l’intrus, devinette,  et de plonger dans l’univers du merveilleux !
Un parcours interactif au final surprenant…Si vous n’avez que deux oreilles, il vous en faudra une troisième pour ce spectacle sans pareil !

Spectacle-jeu : 10 installations pour un récit.
Tout public à partir de 7 ans.
Peut se jouer dans différents lieux (parcs, ruelles de village, bibliothèque)


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Textes : Jean-Jacques Fdida
Installations plastiques : Nicolas Diaz
Récit et meneuse de jeu : Francine Vidal
Régie : Reinier Sagel ou Olivier Brie

Coproduction : Compagnie Caracol et Festival Dedans/Dehors, Théâtre de Bretigny (91)

Nous avons eu le plaisir de jouer dans différents lieux en France, et notamment : 
Festival Chalon dans la Rue, Chalon-sur-Saône – La Maladrerie, Beauvais – Festival Les Arts du Récit en Isère, Grenoble – Act’Art, Scènes Rurales, La Chapelle Gauthier – Jardins en Scène, Amiens – Saison culturelle de la Région Bourgogne, Châteauneuf-en-Auxois – Festival Jacques A Dit, Forum Jacques Prévert, Carros – Estival de la Bâtie, Saint-Etienne-le-Molard – Scènes croisées, Domaine de Chamarande – Imaginaires et Resistances, avec Antipodes, Saint-Gengoux-le-National – ECLA de Saint-Vallier – Fête de l’Iris, Oullins – Rencontres au jardin, Abbaye d’Aniane – Festival Plein les Zieux, Château de Chessy – La Cure, Saint Jean Saint Maurice sur Loire – Parc de la plage bleue, Valenton – Fête des jardins, Saint-Ouen – Festival Les Mots-Buée, Champs-sur-Marne – Crissey pris en conte, Crissey – Les Douchynoiseries, Douchy-les-Mines – Ecole du Bateau Ivre, Buxy ..

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La Babel Sonore

Installez-vous sous un des casques suspendus pour écouter Maria Beloso Hall vous raconter au creux de l’oreille comment elle a, au fil des ans, posé des micros dans toutes sortes de lieux du monde : taxi new-yorkais, rân iranien, sauna suédois 
Guidés par les récits de la globe-trotteuse, vous voilà embarqués pour un voyage sonore et poétique, aux quatre coins de la planète. 

Au coeur de ce spectacle, il y a pour moi, cette envie de solliciter la faculté que l’on a pour se créer des sensations, des images, des odeurs mêmes, à partir de sons, et justement sans aucun appui visuel.J’ai toujours été bouleversée par tout ce que peut contenir le grain d’une voix, une ambiance sonore, les bruits. C’est un véritable voyage dans le temps et dans l’espace que cela permet – et sans bouger le moindre doigt de pied ! – mais surtout un voyage intérieur, par la proximité qui est donnée par les casques et la voix de Maria Beloso Hall.
Je tenais aussi à cette manière de conjuguer à la fois l’intime, au collectif, puisque chacun entend en même temps la même chose tout en étant sous son propre casque, et tout ceci dans un espace public passant.
Francine Vidal

Voyage inédit.
Tout public à partir de 7 ans.
Peut se jouer dans différents contextes (rue ou parc).


 

 


Avec : Maria Beloso Hall
Conception, textes et mise en scène : Francine Vidal
Décor : Clémence Gandillot et Nicolas Diaz
En collaboration avec : Julien Kamoun
Régie : Sébastien Canet
Mille mercis à Patrick Chaillou pour toutes ses régies et son matériel.

Coproduction : La Babel Sonore, d’abord conçu dans le contexte du spectacle Le Dit du Bambou, souk de la parole, a été recréé pour tourner en solo.

  

 

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Un mal ? Des mots !

Si vous confiez à Francine Vidal
ce qui vous tracasse, vous escagnasse, vous tirasse, vous menace,
elle vous prépare un élixir sur mesure
en puisant dans les trésors de la littérature.
Devant son armoire aux mille tiroirs,
elle vous concocte une ordonnance de poésie
et vous la remet dans un étui de bambou.

Mené de manière ludique,
mêlant boniments et poésies,
ce spectacle participatif est une véritable performance.
Un pharmacopée poétique qui séduit petits et grands.

Comment faire pour faire goûter, faire partager, faire vibrer la poésie en public ?
C’est à cette question que je réfléchissais lors de la création du Dit du Bambou, souk de la parole, puisque je tenais à ce que toutes les formes d’oralité soient présentes
dans ce spectacle, lorsque je me suis souvenue de ce livre,
« Les Maux par les Mots » de Jacqueline Cahen et Marie-Rose Lefèvre.

A la question, « les mots vous ont-ils déjà soulager et si oui dans quel contexte »,
plus de 1000 personnes avaient répondu,
et notamment pour pas mal d’entre eux, avec des citations de poésie.
Inspirée par ce livre, j’ai peu à peu établi une liste de maux, et tâché de trouver des poésies qui puissent les soulager.

Petit à petit, comme dans un laboratoire, j’ai élaboré cette pharmacopée poétique,
que je fais évoluer sans cesse au fil des années.
Combien de fois j’ai entendu : « Ah voilà, c’est la bien première fois que j’écoute de la poésie. Quel plaisir  ! ».

Il m’a semblé essentiel que les gens puissent repartir avec leurs ordonnances de poésie, pour avoir quelque chose de tangible, pour pouvoir relire encore et encore, partager.
L’écrin qu’offre un morceau de  bambou, beau, sobre, offert par la nature, vient compléter la magie de la poésie. Francine Vidal

Pharmacopée poétique avec Francine Vidal.
Tout public
Peut se jouer dans différents contextes : lieux publics, festivals, lieux liés aux livres, etc.


 

 

 


Auteur et interprète : Francine Vidal
Décor : Nicolas Diaz
Graphisme : Clémence Gandillot
Regards extérieurs au fil des années : Jean-Jacques Fdida, Stéphane Keruel.
Costume : Nathalie Martella
Librement inspiré du livre Les Maux par les Mots de Jacqueline Cahen et Marie-Rose Lefèvre, Edition Mercure de France.

Coproduction : Un mal ? Des mots ! d’abord conçu dans le contexte du spectacle Le Dit du Bambou, Souk de la parole, a été recréé pour tourner en solo.

Dossier artistique

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons eu le plaisir de jouer dans différents lieux en France, et notamment :
Maison du Conte de Chevilly-Larue – Festival Les Arts du Récit en Isère, Grenoble – Scènes Croisées, Domaine de Chamarande – Festival Excentrique, Savigny-en-Septaine – Festival d’Aurillac – Chalon dans la Rue, Chalon-sur-Saône – Festival Guinguettes et compagnies, Chilly-Mazarin – Le Réservoir, Saint-Marcel – Festival Renaissances, Bar-le-Duc – Festival Les Mots Buée, Croissy-Beaubourg – La ZAT, Montpellier – Festival Les Mots Libres, Courbevoie – Festival Brins de Cultures, Saint-Palais – Festival Les Transversales, Lognes – Le P’tit Piment, Saint-Point – Lez’arts de rue, Courcouronnes – Les Euphoryes, Yutz – Fête des passions, Chavagny-sur-Guye – Festival Small is Beautiful, Lieux Publics, Marseille – Tournée à domicile dans le cadre de Barouf en Clunisois – Rendez-vous aux Jardins, Abbaye de Charlieu – Jardins du Musée Renoir, Cagnes-sur-Mer – Les Arts de la rue en Pays Corbigeois, Corbigny – Bibliothèques de Chalon-sur-Saône, Torcy, Venelles, Ballainvilliers, Cluny, Pigny, Saint-Marcel, Lyon Part-Dieu …

Bonus : le meuble mis en musique pour nos voeux 2012 !

 

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Le Dit du Bambou, Souk de la Parole

Imaginez un village de bambous en plein coeur de ville. Ce gigantesque souk à l’architecture éphémère de 1200 mètres carré et de 10 mètres de hauteur accueille des échoppes où d’incroyables voyages vous attendent.

Le Dit du Bambou, Souk de la parole est une véritable installation-spectacle,
qui conjugue à la fois un espace réel – créé par l’enchevêtrement de bambous
où l’on a envie de venir flâner – et un espace imaginaire – créé par tous les souffles,
les mots, les chants qui résonnent et donnent matière à jouer, rêver, penser, partager.

Comment investir un espace publiclieu de passage aujourd’hui saturé
et 
créer un lieu de vie à la fois engageant et étonnant ?
Comment redonner à la parole sa qualité d’échange, sa fonction vitale et nourricière,
à
l’abri des abus de la communication ?
Comment partager le goût des mots, qu’ils soient parlés, chantés, rimés ou inventés ?
Comment transmettre et expérimenter ensemble cette vertu extravagante des mots, celle de façonner des mondes ?

C’est au coeur de toutes ces questions que cette installation/ spectacle tente de se frayer un chemin, tout en réinterrogeant nos rapports avec le langage et ses usages.
Au coeur d’un lieu inédit et insolite se tient un souk basé sur le jeu, la joute, l’échange, le troc et le rêve.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


La structure

La structure en bambous a été conçue pour ce projet par Simon Barley,
directeur de Bambuco, compagnie australienne passée maître dans l’art de concevoir
et de construire des architectures éphémères en bambous.
Elle est composée de différents espaces : une grande place centrale, et cinq lieux
de différentes tailles (de 30 à 200 m2), 8 tours qui sont les points d’ancrage de cette structure.
Les lieux sont légèrement habillés par des membranes blanches à hauteur d’homme et quelques unes en hauteur. Elles offrent ainsi une protection contre le soleil.
Le lieu conjugue à la fois un côté gigantesque, à la taille d’une ville – 1200 m2 au sol et 10 mètres de haut- mais permet aussi beaucoup d’intimité. La couleur des bambous varie selon la lumière durant le jour, et la structure est mise en valeur la nuit grâce aux lumières composée essentiellement de lustres d’ampoules à nu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le souk de la parole

Au coeur de ce souk, l’on peut dénicher et découvrir toutes sortes de mots, d’histoires, parler, échanger ou interroger des explorateurs de mots qu’ils soient acteur, bonimenteur, slameur, conteur, poète, musicien ou même acrobate.
Le public peut circuler et s’asseoir à sa guise
.
Différents événements ponctuent le déroulement du souk : braderie autour de l’enfance, joutes de déclaration d’amour, interventions des monteurs du souk du haut des bambous, exploration musicale de la structure. Petit à petit, se trame la grande histoire du souk et de toutes ces paroles échangées, qui laissent peu à peu une trace dans la structure de bambous pour permettre un grand lâcher de paroles festif et collectif.

Durée : 3 heures en continu
Entrée et sortie libres
Jauge totale : 1200 personnes


Conception et direction artistique : Francine Vidal
Conception structure : Simon Barley, Bambuco.
Avec
Hocine Belhocine, Maria Beloso Hall, Massimo Dean, Jean-Jacques Fdida, 
Nicolas Forge, Benjamin Leber, Andy Mitchell, Rob Oliver, Laurent Pacientino, David Pietraskiewiecz, Tania Pividori, Stephen Robinson, Nehmatallah Skaf, Francine Vidal , Makoto Yabuki, Leila Zlassl, et nos invités.
Textes : Jean-Jacques Fdida, Francine Vidal.
Sons Babel Sonore : Julien Kamoun et Fabrice Gaudé.
Graphisme et signalétique : Clémence Gandillot
Lumières : Hervé Gary
Chauffeurs camions : Pascal Sarkissian
Administration : Dominique Clermont
Logistique : Camille Perreau
Photos : Jean Barak, Vincent Lucas, R. Thomassian, M. Mac Farlane
Conception graphique des dossiers : Tony Goncalves

Spectacle IN SITU : Réseau européen pour la création artistique en espace public.
IN SITU a été financé avec le soutien de la Commission européenne (programme Culture 2000). IN SITU regroupe : Lieux publics, Centre National de Création des Arts de la Rue,(Pierre Sauvageot), Marseille, France – Atelier 231, Centre National des Arts de la Rue (Daniel Andrieu), Sotteville-Les-Rouen, France – Arge la Strada (Werner Schrempf), Graz, Autriche – Fundation Municipal de Cultura de Valladolid (José Maria Viteri), Valladolid, Espagne – Oerol (Kees Lesuis / Joop Mulder), Terschelling, Pays-Bas – UZ Ltd (Neil Butler), Glasgow, Royaume-Uni et réunit un réseau de onze partenaires associés qui amplifient l’action d’IN SITU dans leur pays.

Coproduction : 
Lieux Publics, Centre national de création des Arts de la rue, Marseille, France en 2005 et 2007 – L’Abattoir, Centre Transnational des Arts de la Rue, Chalon sur Saône. France – Excentrique. Festival de la région Centre, France – La Paperie, Centre National des Arts de la Rue, Angers, France – Huis en Festival a/d Werf, Utrecht, Holland – Ministère de la Communication et de la Culture, DMDTS, France – ADAMI – SPEDIDAM – Conseil Général de Saône-et-Loire, France – Conseil Régional deBourgogne -DRAC Bourgogne, France,

Avec le soutien de Festival les Tombées de la Nuit, Rennes, France – Espace Périphérique, Paris, France.

D’infinis mercis à tous ceux qui ont accompagné, croisé, participé, soutenu celle aventure. Ils sont très nombreux, une pensée pour chacun d’entre eux.


Dossier artistique

Revue de presse

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Café Ulysse

Un spectacle librement inspiré de l’Odyssée et de récits contemporains, pour une équipe polyglotte et un transistor,le tout accompagné d’un thé ou d’un café.

Bienvenue dans un café éphémère !
Dans un chaleureux décor, le public est accueilli par un trio d’acteurs polyglottes, qui sert café, thé et eaux parfumées.
Puis l’histoire commence…
De l’île antique d’Ithaque, à la Palestine, en passant par la Bourgogne, le trio d’acteurs mêle tambour battant récits inspirés de l’Odyssée et témoignages contemporains.
L’Odyssée est racontée du point de vue des personnages contemporains d’Ulysse : Pénélope, Télémaque, ses compagnons, ses parents, son fidèle et second d’équipage, Circé, Calypso, son chien même.
Au fil de leurs récits se recomposent peu à peu l’Odyssée d’Ulysse. Chacun de ses récits est autonome et dure entre 5 et 12 minutes.
Leurs tons diffèrent : témoignage, révolte, humour, provocation, les styles varient.
Aux récits de l’Odyssée, 8 récits contemporains sont mêlés.
Inspirés de faits réels et de témoignages, ces récits entrent directement en résonance avec ceux de l’Odyssée.

Le spectacle est un patchwork de récits, qui se déploient durant 6 fois 30 minutes (3 heures).
Au bout de chaque demi-heure, un contrepoint contemporain aux récits issus de l’Odyssée, et une pause de 5 minutes, pendant lesquelles on sert à boire et à grignoter au public.
Une pause pour se rafraîchir les yeux, les oreilles, les papilles avant de replonger plus avant encore en compagnie du trio d’acteurs, dans cette épopée qui depuis des siècles passionne tant d’auditeurs.

En 2022, nous reprenons ce spectacle après deux ans d’interruption. Et nous avons le bonheur de le reprendre avec Isabelle Florido, comédienne hors pair, trilingue français-espagnol- LSF pour une nouvelle version encore plus visuelle !

Un grand merci à la Scène Nationale Carré-Colonnes à Blanquefort pour son accompagnement à cette re-création et au festival   les Contes Givrés de l’association Antipodes et Marie-France Marbach.

crédit Pierre Acobas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Textes : Jean-Jacques Fdida et Francine Vidal
  • Mise en scène : Jean-Jacques Fdida
  • Avec : Isabelle Florido, Reinier Sagel, Francine Vidal
  • Régie : Philippe Royer
  • Scénographie et décor : Nicolas Diaz
  • Costumes : Nathalie Martella
  • Créateur son : Mûre Natale
  • Adaptation en LSF : Sigolène Brun, Isabelle Florido, Marie Lemot
  • Production : Marion Villar

Ce spectacle est en soi une épopée. Il a déjà connu plusieurs destinées en 2014, puis de 2017 à 2020 et une troisième qui a débuté en 2022 !

En 2022 : résidence de re-création 
Scène Nationale Carré-Colonnes à Blanquefort/Saint-Médard-en-Jalles.
Le Lion d’Or à Simandre

Co-productions et accueil en résidence :
Le Boulon, Centre National des Arts de la Rue de Vieux-Condé
Espace Culturel du Brionnais, Chauffailles
La Maison du Conte de Chevilly-Larue
Théâtre Paul Eluard, Scène conventionnée pour la diversité linguistique, Choisy-le-roi
L’Abattoir, Centre National des Arts de la Rue, Chalon-sur-Saône
Les Z’accros de ma rue, Nevers
La Transverse, Corbigny
Centre International de Théâtre Francophone, Organisation Internationale de la Francophonie

Aides au projet :
DRAC Bourgogne-Franche-Comté
Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté Conseil Départemental de Saône-et-Loire ADAMI
SPEDIDAM

Accueil en résidence :
Animakt, Saulx-les-Chartreux / Anis-Gras, Arcueil / CCO, Villeurbanne / La Fabrique, Strasbourg / La Minoterie, Dijon / Le Silo, Méréville

  
« LA SPEDIDAM est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées ».
Nous avons déjà eu le plaisir de jouer dans différents lieux en France :

Festival Chahuts, Bordeaux / Chalon dans la rue In et OffLa Cour des Contes, Plan-les-Ouates, Suisse / Biennale Urbaine du Spectacle, Romainville / Les Expressifs, Poitiers / La Maison du Conte, Chevilly-Larue / Effervescences, Auvergne / Pépète Lumière, Suin / Théâtre Paul Eluard, Scène conventionnée, Choisy-le-roi / Festival Les Arts du Récit en Isère, Grenoble / Animakt, ZAT, Montpellier / La Minoterie, Dijon / Imaginaires et Résistances, Gueugnon / Domaine de Chamarande / Zaccros de ma rue, Nevers / La Transverse, Corbigny / Théâtre du Rabot, Semur-en-Auxois / Fête de la Ville, Saint-Denis / Espace Culturel du Brionnais, Chauffailles / Médiathèque de Riom …


 

 

 

 

 

Un grand merci à tous ceux qui ont participé au projet :
Pierre Bridoux, régisseur, Laurane Chasez, interprète Langue des Signes, Marie Fraschina, chanteuse, Anatole Gidon, pour son interprètation de Ronan, Marco Nistico, Emmanuelle Berthe, Géraud Pineau et familia, Petra Xatzip, Mathieu Liouville, Reinier Sagel  pour leurs traductions, Bahram Aloui et Amale Ben Haddou, Fatimzohra Zemel, comédiens, Stéphane Guellec et Jol pour leur constructions, Vanessa Levet, Agnieszka Juszczak en régie, Dominique Clermont, administratrice, Julien Kamoun, création sonore, Barbara Trojani, chanteuse, Cécile Lévy, Mickaëlle Chauvin, Joelle Bertrand pour leurs coups de main, Maryse Gaudillière, Annie Guillemin, Valérie Airault, Hélène Paleni, pour la couture de la grande toile.

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